Je connais bien la surdouance et les problèmes associés notamment chez l’enfant. Durant un stage en psychologie scolaire, j’ai établi des bilans psychologiques d’enfants, interrogeant la question de la différence des sexes face à la surdouance. Cette interrogation s’est conclue par une étude longitudinale sur une quarantaine d’enfants. Je suis un psychologue spécialisé dans la détection d’enfants surdoués, hauts potentiels, zèbres. Cependant, il est important de garder de la nuance afin d’épouser au mieux la singularité du sujet à mon avis.
Cette approche permet d’aborder tout une gamme de concept autour de la surdouance. Notamment la véracité de celle-ci et la capacité à l’extérioriser de manière juste.
Les bilans psychologiques sont un premier tamis essentiel qui permet de mesurer les dispositions cognitives mais aussi affectives de l’enfant. En effet, le psychologue est là pour protéger le haut potentiel, respecter ces besoins de connaissances et favoriser son intégration dans le monde des hommes.
Évidemment, j’ai un aperçu de tout l’écosystème entourant les enfants surdoués, les profils « zèbres », adulte à haut potentiel, autiste. Malgré tout, je garde une distance avec les diagnostics qui relèvent parfois plus du désir d’un proche que d’une réalité. Je peux être amené à croiser différents prismes pour aborder ce problème.
Le sexe, l’âge et la structure de pensée sont des éléments essentiels. Pour en savoir +… je vous invite à lire mon article sur la surdouance.